Ilus Hector McFalden

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Ilus
McFalden

Dis nous qui tu es...

&& PRENOM (S) ;; Ilus Hector
&& NOM ;; McFalden
&& SURNOM ;; Je vous déconseille fortement de m'en trouver un!
&& AGE ;; j'approche de la centaine...
&& METIER/ETUDES;; On m'a récemment confié un poste de Professeur de Défense Contre les Forces du Mal à l'école de sorcellerie Poudlard.
&& DATE & LIEU DE NAISSANCE ;; Angleterre, 30 août 1880.
&& ORIGINE ;; Officiellement Sang pur, mais je doute que de nos jours un sorcier puisse encore prétendre n'avoir aucun sang de Moldus dans les veines, je me considère donc de Sang mêlé.
&& ORIENTATION SEXUELLE ;; Hétéro
&& MAISON A POUDLARD ;; Serdaigle
&& GROUPE ;; Professeurs
&& PATRONUS (sauf pour les Mangemorts);; Un aigle royal
&& EPOUVANTARD ;; Échouer en tant que professeur.
&& BAGUETTE ;; 28, 4 cm, bois de chêne contenant un ventricule de cœur de dragon. Robuste et rapide, efficace pour les maléfices.
&& SIGNE PARTICULIERS/TICS ;; Je suis fidèlement accompagné d’une canne depuis un combat avec une chimère auquel j'ai réchappé. Je boîte douloureusement du côté gauche depuis lors.
&& CAPACITES PARTICULIERES ;; Pratique la Legilimencie (demande en attente)
&& AVATAR ;; Christopher Lee

Dis nous ce que tu étais. En 15 lignes minimum

La valise et le reste de mes bagages aux bras, je descendais avec difficulté du train écarlate. Cramponné à ma canne, je m’arrêtais une seconde, le temps d’admirer ce paysage si familier : la gare de Pré-au-Lard. Ainsi donc, je retournais en Écosse! Ce serait mentir que de dire que ces paysages montagneux, de plaines verdoyantes et de forêts ne m'avaient pas manqué. Je me souviendrais toujours de mon arrivée ici…

Je suis né au cœur de Londres, dans une famille de classe sociale moyenne mais suffisante pour que nous n’ayons jamais à manquer de rien, mes frères et moi. Trois frères, pour être exact: Dardanos, Priam et Astyanax. J’étais le troisième, pas l’aîné mais pas non plus le cadet, rien d’extraordinaire en soi. Les années se succédèrent, quand j’entrai à Poudlard ce fut pour moi un émerveillement. Jamais de ma vie je n’avais vu un endroit comme celui-ci et je doutais fort qu’il y en ait d’autres. Mon frère aîné était à Serpentard, mon autre à Gryffondor et moi j’eus l’inestimable privilège de rejoindre la noble maison des Serdaigles. Astyanax, lui n’eut jamais l’occasion d’entrer à Poudlard. Il mourut à cinq ans d’une pneumonie, maladie fort courante en ce temps. On m’autorisa à quitter l’école pendant deux semaines afin d’assister aux funérailles. Si mes notes étaient jusque-là irréprochables, l’année qui succéda à sa mort fut radicalement différente. J’eus par chance le soutien de mes frères pour me permettre d’aller de l’avant.
Comme en réponse à sa perte, je décidai de faire carrière dans la médecine. Après l’obtention de mes ASPIC, je me consacrai à la recherche. D’abord étudiant à l’hôpital Ste Mangouste, je réalisai plus tard que les solutions étaient ailleurs, au-delà des frontières de l’Angleterre. Des années à parcourir le monde, à voir des merveilles que certains n’imagineront jamais et n’auront plus la chance de voir. Loin de l’Angleterre, en Inde plus précisément, je faisais la connaissance d’Anahita, une magnifique sorcière aux cheveux d’ébène, que je pris pour femme. Elle était à la fois douce et obstinée, fière et modeste. Sa générosité et sa grandeur d’esprit m’hypnotisèrent littéralement. Elle aussi cherchait à soigner les maux de ce monde, sans doute était-ce cela qui nous avait rapprochés, mais en étudiant les techniques moldues. Une femme fascinante.
Je décidai de rester en Inde pour elle, mais mon frère Dardanos, dont la nature bien que généreuse était primaire et impulsive, fut mortellement blessé lors d’un de ses combats de sorciers qui étaient très à la mode. Voilà donc que je devais rentrer en Grande Bretagne, apaiser et soutenir ma famille. Je ne voulais pour rien au monde quitter mon Anahita et je n’eus pas à le faire. C’est elle qui décida de m’accompagner. Elle n’avait jamais vu Londres et je me peinais de lui faire visiter ma ville natale dans de telles circonstances. Je l’eus présentée à ma famille, un peu réticente au fait que j’avais épousé une Sang-mêlée. Ils ne purent que l’adorer tellement sa vivacité et son sens de l’humour étaient extraordinaires. « A quand les enfants ? » nous demandait-on! Je ne doute pas un instant que ce fut grâce à elle que nous surmontâmes notre deuil.
Mais l’Inde lui manquait et j’eus tôt fait de le voir même si elle s’efforçait de ne rien y laisser paraître. Ne voulant pas la priver des siens plus longtemps, nous repartîmes après de longues embrassades avec ma famille. Moi j’y continuais mes recherches et elle espérait pouvoir y construire un foyer. Mais voilà, après de longues années, il fallait se rendre à l’évidence: elle ne put jamais donner la vie. Elle en fut bouleversée, vous imaginez bien ! Moi cela m’importait peu. Je me souviens l’avoir consolée, la rassurant que notre petite vie paisible suffirait à notre bonheur et je nous imaginais vieillissant l’un auprès de l’autre. Nous aurions été un parfait couple de vieillards heureux. Elle reprit peu à peu le sourire et la vie continua son cours.

Puis la guerre arriva en Europe. Une grande partie de ma famille périt en Angleterre, mais mon frère Priam réussit à s’échapper et nous rejoignit en Inde. En apprenant les combats qui se déroulaient dans mon pays natal, je décidai de retrouver ma patrie et devenir médecin de guerre. Malgré ma désapprobation, Anahita décida encore une fois de m’y suivre. Quand elle avait décidé quelque chose, rien, pas même toutes les supplications du monde, ne l’aurait arrêté. Nous retournâmes donc à Londres dans un climat de terreur et de mort. Priam combattait vaillamment l’ennemi et Anahita et moi tentions désespérément de soigner le plus de blessés possible. Sorciers ou Moldus, peu importaient, nous étions tous embarqués sur la même galère. Je ne pourrais jamais oublier ces heures infinies et sanglantes à essayer de sauver ces vies sous les bombardements. Une fois, alors qu’un malade était resté coincé sous les décombres d’un bâtiment en ruine, Anahita se mit en tête de lui porter secours. Mon frère et moi n’eûmes guère le temps de l’en dissuader, cette entêtée n’écouta personne et pénétra sous les gravats, quelques secondes avant qu’une bombe ne tombe sur les lieux et ne réduise tout en poussières. Il ne restait plus rien. Tout était détruit, pas seulement l’immeuble mais aussi pour moi. Je ne parlerai pas plus longtemps de ce que cette perte représentait pour moi, l’effondrement et le vide suffisent. A ce moment-là, je n’avais que mon frère. Nous devions faire face, nous devions continuer de nous battre et survivre. Plus rien d’autre n’importait que la vie.
A la fin de la guerre il ne restait que la fumée d’un feu qui avait tout consumé. Pour certains, la paix de l’âme ne reviendrait jamais. Priam me demanda de l’accompagner pour un nouveau tour du monde que je refusais humblement. J’en avait suffisamment vu et suffisamment fait. Pour l’heure, je voulais juste me contenter du calme et de la solitude que l’Angleterre m’offrait. «Ne sommes-nous pas trop vieux pour jouer aux explorateurs aguerris ?» lui demandais-je et il me répondit avec un de ses sourires désabusés «Je suis plus vieux que toi Ilus. Tu as beau être sage, il n’y a pas de limite d’âge pour partir à l’aventure et découvrir les merveilles d’une contrée encore inexplorée.». Sur ces belles paroles, je lui souris et lui souhaitai bonne chance. Je reconnaissais bien là mon frère, le hardi qui avait été envoyé à Gryffondor. Et pour ma part, je restais là et vieillissais. Je devins un temps professeur en médecine à Ste Mangouste, puis décidais de me retirer à la campagne pour méditer. Je recevais parfois des nouvelles de Priam, il me racontait à quel point ses aventures étaient trépidantes et je devinais qu’il était en Afrique grâce aux oiseaux colorés qui m’apportaient ses lettres.
Puis, contre toutes attentes, je fus contacté par Dumbledore qui me demanda en Ecosse afin de me proposer un poste de professeur dans sa prestigieuse école. C’était là une occasion inestimable que je ne pouvais refuser, bien que le poste en question fût, d’après de folles rumeurs, considéré comme étant maudit.

Et voilà comment, après 78 ans, je retournais à Poudlard. Une calèche approcha, tirée par une créature que je reconnus aussitôt : un sombral. Quand elle s’arrêta devant moi, la porte s’ouvrit et j’y chargeai ma valise et mon sac de voyage. Je regardais à nouveau le paysage, humant l’air frais des montagnes avant m’engouffrer dans la calèche, laquelle avança aussitôt, me conduisant jusqu’au château.

Dis nous ton caractère. en 10 lignes minimum

&& Premier jour de cours. C’était une matinée paisible, j’étais arrivé dans la salle de cours avec une heure d’avance comme à mon habitude. S’il y avait une chose qui m’horripilais, c’était bien le retard ! Gare donc à ceux qui auraient la malchance de rater ne serait-ce que trois secondes de mon cours ! Je posais mes affaires sur mon bureau avec ordre et précision. J’aimais l’ordre et la discipline et je comptais bien l’instaurer dans cette classe. La pièce avait déjà été décorée par mes soins et on pouvait voir accrochées aux murs toutes sortes d’instruments étranges que j’avais ramenés de mes nombreux voyages. Le premier élève entra, suivi du reste de sa classe. Ils regardaient autour d’eux, contemplant les bocaux et le squelette d’Éruptif que j’avais installés. Une fois que tous les élèves furent entrés, je vins me tenir face à eux et leur dis d’une voix grave et sérieuse :

«Bonjour. Vous êtes ici pour suivre un cours de Défense contre les Forces du Mal, je vous prie donc de laisser les bavardages à la porte. Je n’accepterais aucun chahut dans cette classe, ne serait-ce qu’un chuchotement. Asseyez- vous.»

Ils s’exécutèrent sans un mot en se lançant de temps à autre des regards inquiets ou étonnés. Les mains croisées sur mon bureau, j’entrepris de leur expliquer ma façon d’enseigner :

«Je me présente, je m’appelle Ilus McFalden, je suis votre nouveau professeur et j’exige que vous m’appeliez "monsieur", car la politesse est une chose à laquelle je tiens et vous devrez vous y habituer. Je suis extrêmement sévère, il y a de grandes chances pour que vous me détestiez avant la fin de cette heure, si ce n’est pas déjà le cas. Autant vous le dire, je ne suis pas là pour jouer au prof sympathique et je n’ai aucunement l’envie que vous m’appréciiez. Avec moi, vous n’aurez droit à aucun traitement de faveur, quels que soient votre maison, votre sang ou même la position hiérarchique de votre famille. Je ne vous jugerai que d’après votre travail et ses résultats. Cette année, les choses se compliquent et vous devrez faire preuve de toutes vos capacités afin de passer à l’année suivante. Je vous recommande de ne pas vous reposer sur vos acquis au vu de la complexité des travaux que je vais vous donner. J’exige que les devoirs me soient rendus le jour prévu, aucun délai supplémentaire ne vous sera accordé, sauf si vous avez une excuse valable, c’est-à-dire : décès dans votre famille, maladie, etc… Mais si vous êtes malade, il y aura intérêt à ce que vous soyez cloué au lit ! Les hypocondriaques ne seront pas tolérés ici, et je me garde le droit de vous refuser de revenir en cours si vous n’avez pas un justificatif convaincant et approuvé par notre infirmière. Sachez aussi que j’interroge qui bon me semble, que vous ayez levé la main ou non. En revanche, je vous interdis strictement de prendre la parole sans y avoir été invité, cela vous vaudra des points en moins et une retenue si vous récidivez. Il y a de grandes chances pour que votre quota de retenues augmente cette année et pour messieurs et mesdemoiselles les joueurs de Quidditch, je n’hésiterai pas à vous punir les jours d’entrainement ou de match.»
Que dire de plus ? Que je suis un professeur froid, cynique et antipathique ? Ils le découvriront bien assez tôt !
«Maintenant que vous êtes avertis, je vous informe également que je reste ouvert à toutes vos questions - gare aux remarques stupides, je vous conseille néanmoins de réfléchir avant de parler bêtement – et que je suis à votre disposition si vous avez besoin d’aide. N’oubliez pas que vous êtes ici pour apprendre. Des questions ?»

Derrière ton écran

&& Prénom/Pseudo ;; Abracadabra!
&& Age ;; XX ans
&& Ta présence sur le RPG ;; 3/7
&& Comment as-tu connu le forum ? Comme par magie!
&& Comment le trouve tu ? Ça manque de vieux crouton par ici…
&& Doubles comptes ? {Si oui, qui ?) Qui sait?...
&& Ton perso est -il un PV ou Un Scénario ou inventé ? Inventé
&& As-tu des connaissances en graphisme ? On va dire que non!
&& Codes ;; Ok par Sirius

Bienvenue

Bienvenue et bonne continuation pour la suite de ta fiche =)

Merci à vous deux!

Bienvenue sur le forum, merci de ton inscription Ilus Hector McFalden 2901680126

Ta fiche est superbe et le code est le bon alors je te valide avec plaisir !

N'oublie pas de réserver ton avatar avant de jouer. Wink